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Textes des élèves de 6AB

Samedi, le 22 mars 2014, Anne organise une fête. Dès l'aube, elle commence les préparatifs. Mais malgré cela, c'est tout de même un tohu-bohu, rien n'est à sa place. Il y a des bonbons, des boissons et des guirlandes à tire-larigot.
Il est déjà 22 heures, le premier invité, Paul, sonne à la porte. Anne lui ouvre et tous deux s'installent en attendant l'arrivée des autres. Quelques minutes plus tard, Anne entend un charivari et se demande qui ça peut bien être. Elle se dirige alors vers la porte et se rend compte que ce sont ses amis qui voulaient lui faire la surprise d'arriver en même temps. Anne se demande alors pourquoi Paul est arrivé avant tout le monde. "C'est parce qu'il n'a pas d'ami", lui répond Auguste. Anne sait que Paul est particulier. Il préfère s'enlivrer que de parler avec des jeunes de son âge.
La soirée commence bien, tout le monde se sert à boire et déguste les gâteaux préparés par la maman d'Anne. "C'est un truc de ouf le gâteau de ta maman, faudra qu'elle me donne la recette", dit Claude. Anne n'a pas entendu le compliment que Claude venait de lui adresser. Elle s'occupe de son amie Mathilde, qui commence à marcher en zigzag. Elle a trop bu.
Chris est toujours celui qui arrive à ambiancer une soirée. Il commence à danser et invite les autres à faire comme lui. Même Paul est de la partie. D'ailleurs celui-ci n'arrête pas de se vanter de ses bonnes notes. Caroline commence à en avoir marre et lui dit: "Qu'est-ce que c'est que ces fariboles?". Paul réplique et lui dit de laisser tomber. De l'autre côté de la pièce, Éline parle à Victoire et la met au défi de manger 3 morceaux de gâteaux en 10 secondes. Si elle échoue, Éline sera autorisée à lui crêper les cheveux. Victoire se met en position, les gâteaux sont trop gros pour pouvoir les manger tellement vite. Éline se fait une joie de la coiffer. Quelques minutes plus tard, Victoire sort de la salle de bain et montre sa belle coiffure à ses camarades. "Tu ressembles à un hurluberlu Victoire! Éline, tu es timbrée de lui avoir fait ça??!", dit Caroline. "C'était juste histoire de rigoler un peu", lui répondent Victoire et Éline.
Il se fait déjà tard et les invités doivent rentrer chez eux. Tout le monde complimente Anne pour cette belle soirée.

V.Boos

Bonjour, j'ai envie de vous raconter ma journée de ouf du carnaval de cette année. Je fais partie d'un groupe carnavalesque, donc on participe chaque année au lundi des roses. Cette année, on était déguisés en indiens. Ma copine Sophie a également participé au cortège au sein de notre groupe. C'était super, car elle sait bien ambiancer. Pour elle, la musique de carnaval ressemble plutôt à un joyeux tohu-bohu et non à un charivari insupportable.
Après un certain temps, j'ai constaté que ma copine marchait en zigzag et ne racontait que des fariboles. Elle avait certainement bu à tire-larigot!
Ensuite, elle m'a dit qu'elle comptait se suicider. Naturellement, je ne l'ai pas cru, je lui ai dit qu'elle était timbrée.
Après un moment, j'ai remarqué que Sophie avait disparu. Avec une bonne amie, plutôt un hurluberlu lors du carnaval, je me suis mise à sa recherche. On a demandé à plusieurs personnes si elles l'avaient vue quelque part, mais personne ne l'avait repérée. On n'a pas abandonné et on a posé la question à une femme, assise sur un banc et enlivrée dans un Harry Potter. Elle nous a raconté qu'elle avait vu Sophie emmenée à l'hôpital en ambulance. Vite, on s'est renseignées auprès de la croix rouge. Quel malheur, Sophie s'était jetée d'un pont et est décédée sur le chemin vers l'hôpital!

K.B.

Une nuit enivrée
Un jour, Jean vint me voir et me demanda si j'avais envie de l'accompagner à un concert de rock. Il n'était pas timbré, non il était ouf! Mais, comme c'était mon meilleur ami, j'acceptai son invitation. Même s'il crut que c'était une faribole, il se réjouit.
Au concert, Jean se comportait vraiment comme un hurluberlu. Il était du genre à s'enlivrer, mais ce jour-là, il but à tire-larigot, dansa sur cette musique proche d'un tohu-bohu et ambiança tout le concert.
A la fin du charivari, nous marchâmes en zigzag, enivrés par l'alcool.

Tinkerbell

Il était une fois une petite fille, qui lisait des livres à tire-larigot. Parfois, la fillette s'enlivrait tellement qu'elle ne se rendait même pas compte du tohu-bohu et du charivari que son frère aîné produisait quand il revenait une nouvelle fois soûl d'une fête. Ce dernier savait comment fêter et ambiancer toute une foule. Il avait tellement bu qu'il marchait en zigzag et cognait d'autres personnes qui disaient souvent la même chose: "Qu'est-ce que c'est que cet hurluberlu?!" Quand il était saoul, son frère était complètement timbré et la fillette ne croyait aucune des fariboles qu'il lui racontait pour justifier son état. Un soir, il avait tellement bu qu'il dut aller à l'hôpital pour cause d'intoxication alcoolique. Il n'en sortit plus vivant. La première chose que sa sœur dit à son sujet fut: "Il était vraiment ouf!"

Lillifee

En un sens, personne n'est conforme à la norme.
Si on écoute attentivement le charivari homogène des foules, on percevra des histoires de ouf, souvent des fariboles à tire-larigot, racontées pour ambiancer l'entourage, mais parfois celles-ci peuvent seulement provenir d'hurluberlus.
La société nous conforme tellement en nous enlivrant d'informations inutiles qu'on zigzague à travers le tohu-bohu des bruits pénétrant notre cerveau.
Inévitablement, le seul choix restant est de dévier de la norme, quitte à être un timbré. Respecter le système sans devenir fou correspond à une autre sorte de folie.

M.F.

Carnaval
Au cours d'une fête de carnaval bien ambiancée, une vieille dame demande: "C'est quoi ce charivari?".
Un homme se rapprochant d'elle en marchant en zigzag lui répond: "La musique est bien marrante."
La vieille dame demande d'un air moqueur:
- C'est quoi cette faribole?
L'homme en souriant:
- C'est le jour des timbrés!
- Donc, les gens fêtent à tire- larigot?
- Si vous pensez ainsi, que faites-vous dans ce tohu-bohu?
- Je n'avais plus envie de m'enlivrer, donc je me suis rendue à cette fête d'hurluberlus.
- Excusez-moi, mais vous n'avez pas compris pourquoi tous ces oufs font la fête.
La dame, ne sachant plus quoi répondre, commença enfin à fêter.

H.L.

Un jeune ouf
Il était une fois, un jeune homme qui aimait ambiancer. Il adorait voir tout le monde s'amuser. Il aimait aussi boire à tire-larigot et faire des paris avec des amis. C'était vraiment un ouf!
Lorsqu'il buvait trop, il marchait en zigzag et faisait toujours du charivari, ce qui dérangeait tout le monde. Mais ce n'était pas tout. Il racontait également tout le temps des fariboles. C'était un vrai timbré! Il avait toujours des idées pour énerver les autres…
Ses copains l'appelaient l'hurluberlu, parce qu'ils trouvaient que leur ami exagérait et n'était plus lui-même. Il sortait chaque jour, n'avait pas de femme et pas de métier.
Pourtant, il voulait changer et il commença par s'excuser auprès de ses voisins, à cause du tohu-bohu qu'il leur imposait chaque jour. De plus, il s'inscrivit à l'université et, pour réussir ses études, il s'enlivrait dans ses cahiers et étudiait chaque jour.
Maintenant, ce jeune homme, appelé Tom, est juriste et il s'est marié.

Vanessa M.

Ne jamais ambiancer un club dans le but d'aider un ami!
La veille, quand nous nous apprêtions à faire la fête, j'ai constaté que mon ami Colin s'enivrait d'alcool. J'étais très étonné car jamais je l'avais vu dans un état pareil: il buvait à tire-larigot ce liquide incolore et volatile obtenu par la distillation de jus sucrés fermentés, à tel point qu'il n'était plus capable de marcher jusqu'à notre véhicule sans zigzaguer.
Pour m'assurer de son bien-être, j'ai cherché le dialogue avec lui tout au long de la soirée. J'ai vite découvert que c'était à cause de la rupture avec sa copine. Le charivari dans la discothèque n'améliorait pas son état. Bref, pour le divertir, j'ai décidé d'ambiancer le club. Jusqu'ici tout allait bien. Cette attitude s'est imprégnée dans ma tête. J'ai commencé à danser comme un ouf de sorte à avoir l'air d'un hurluberlu. Très vite, j'ai reconnu que j'étais timbré.
Colin s'est mis à rigoler comme un malade. Au moins, j'ai pu lui servir de distraction.

P.S.

Un voisin pas comme les autres
Cette dernière fête était une soirée de ouf. J'en ai passé une grande partie à ambiancer avec mes amis les plus proches. Lorsqu'on ne dansait pas, on passait du temps près du bar, à boire à tire-larigot.
En face de nous, se tenait un timbré, qui n'arrêtait pas de raconter à tout le monde qu'il est martien. Son discours n'était que fariboles et sa démarche en zigzag montrait bien que c'était un rêveur. Marc, un ami, nous avoua qu'il connaissait cet homme, un vrai hurluberlu! En effet, un jour, cette personne extravagante, en réalité le voisin de Marc, avait mis le volume sonore de sa radio trop haut. Ce charivari dérangea Marc durant sa lecture, alors qu'il venait de s'enlivrer dans l'histoire de son bouquin. Ce vacarme était un vrai tohu-bohu!
Quelques jours plus tard, l'homme sonna à la porte de Marc pour lui annoncer son départ car il retournait sur la planète Mars… Il lui expliqua que la vie sur terre était anormale car les humains n'ont pas de cœur, ils sont livrés à eux-mêmes. Cette version n'est pas pour lui. Sa planète n'est pas comme cela: les Martiens ont le droit de rêver et de s'amuser.

Lisa v.P.

Une fête extraordinaire
Hier, on est allés fêter à tire-larigot. Ma meilleure amie a enfin arrêté de s'enlivrer et a ambiancé la salle. Elle ressemblait à un vrai hurluberlu et marchait en zigzag vu qu'elle avait bu un peu trop d'alcool. La soirée était vraiment ouf et la musique formait un réel tohu-bohu.
Le lendemain, chaque petit bruit résonnait comme un charivari et nous cassait les oreilles. On ne se rappelait plus de toute la soirée, mais on savait que nos amis timbrés nous avaient raconté des fariboles.

K.L.

 

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